Un homme est mort et un autre est sur le point de mourir. Un incendie policier a frappé près de Lyon jeudi-vendredi soir, a indiqué le procureur.Une enquête a été ouverte pour nouveau refus d'obtempérer.. Le parquet de Lyon a indiqué que les deux policiers qui ont fait usage de l'arme ont été placés en garde à vue et sont actuellement interrogés par la police. Vers 00h05 un jeudi soir à Venissieux, tout près de Lyon, une patrouille de police de quatre nuits a trouvé un véhicule garé sur le parking du Carrefour de Venissieux, qu'elle a prétendu avoir été volé. signalé", a déclaré le procureur.
1 mort, 1 mort cérébrale et blessé
Alors que les autorités s'apprêtaient à le contrôler, le conducteur du véhicule a changé de vitesse. Je l'ai mis en marche arrière, puis en marche avant vitesse, et s'est écrasé dans la police. Un policier jeté dans le capot d'un véhicule qui continuait sa progression. Deux policiers, dont un sur le capot, ont fait usage de leurs armes à plusieurs reprises. La voiture a terminé la course avec 100 mètres d'avance, ont ajouté les procureurs dans un communiqué de presse.
La police a trouvé deux hommes gravement blessés dans l'habitacle du véhicule et leur a prodigué les premiers soins. Les pompiers présents sur les lieux ont rapidement constaté le décès du passager tandis que le conducteur a été transporté d'urgence à l'hôpital, selon les procureurs. Des sources policières ont indiqué qu'il était en état de mort cérébrale.
Deux enquêtes ont été lancées
Les procureurs ont déclaré que l'officier qui avait été battu avait des blessures mineures à la jambe et avait été transporté à l'hôpital pour examen. Une enquête a été lancée. La première, commandée par le département du shérif, concerne la dissimulation de vol,le refus aggravé d'obtempérer et la violence armée contre les forces de l'ordre. La deuxième affaire, dans laquelle une personne dépositaire de la puissance publique a fait usage d'une arme pour commettre des violences et est décédée sans intention de donner la puissance publique, a été transmise à l'inspecteur général de la police nationale (IGPN).
Des sources policières ont déclaré que les deux hommes qui avaient été abattus étaient malencontreusement connus de la police.