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Les républicains cherchent toujours une place entre Macron et Le Pen

Vu d'Angleterre.

Les partis de droite, affaiblis par des résultats électoraux désastreux, doivent articuler une stratégie et surmonter les divisions internes pour s'établir comme une opposition constructive, selon une analyse britannique du Financial Times.

À l’Assemblée nationale, Les Républicains ont majoritairement soutenu les projets de loi du gouvernement. Ici, le 3 août, jour de l’adoption du projet de loi sur le pouvoir d’achat.
a soutenu le projet de loi du gouvernement. Ici, 3 août, le jour où la loi sur le pouvoir d'achat a été votée. Photo Xose Bouzas/AFP

Après un cuisant échec à la présidentielle, Les Républicains (LR) On a perdu près de la moitié des députés aux élections. Même l'échec de la coalition présidentielle à remporter une majorité,Le Financial Times, a noté :Si Emmanuel Macron ne peut pas composer sans un parti conservateur,"augmente le risque que les électeurs voient LR comme un partenaire de second rang dans une coalition de facto avec un président impopulaire".45}

"Si nous ne parvenons pas à reconstruire un centre-droit crédible, nous risquons l'arrivée au pouvoir de Marine Le Pen", déclare l'ancien ministre et ex-primaire républicain, interrogé par un journal britannique. Le partifait face à des forces d'extrême droite plus puissantes que jamais, car il doit élire un nouveau président en décembre. Depuis 2017, M. Macron a débauche plusieurs législateurs, alors que d'autres éléments du Parti républicain prennent le contre-pied des centristes.Aux yeux du Financial Times, les Républicains sont assez divisés, divisés à la fois sur les questions stratégiques et sur les questions de fond.

Schisme potentiel

"Deux des candidats à la direction du parti représentent les deux extrêmes du parti", écrit le journal. Aurélien Pradier, en revanche, souhaite un parti moins centré sur les questions d'immigration et d'identité et plus centré sur les enjeux économiques de la France. L'autre, Éric Ciotti, prône une "politique plus dure en matière d'immigration et de criminalité". Pradier suggère une possible scission, mais Ciotti Il a laissé entendre qu'il saurait recréer cette unité si élu leader du mouvement.

Cela devra attendre les élections de décembre. D'ici là "le sort de LR dépendra de la façon dont il gèrera la dynamique parlementaire du second mandat du président Macron.".Le parti , qui avait espéré s'imposer, a rejeté une coalition avec leprésident. Mais le mois dernier, le groupe a massivement soutenu le projet de loi du gouvernement. Comme l'a souligné Annie Geneva de About Themes

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