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Un arbre tombé sur un des murs de la zone disciplinaire de la prison Saint Laurent.Michelle Pierre

Reportage-A Saint Laurent Dumaroni et les îles du Sauveur, la préservation des bâtiments carcéraux est une lutte permanente contre les éléments La Guyane maintenant J'essaie de retrouver la mémoire douloureuse qui a été supprimée pendant longtemps.

Envoyé spécial Gaiana

Prison", la mère a parlé une fois à leurs enfants maladroits. Et ce dernier y croyait. Entre 1852 et 1953, plus de 70 000 voleurs, assassins, ficelles, espions, anarchistes ou petits récidivistes furent envoyés en Guyane, terre de grands châtiments. Dix ans plus tard, cette division, que les grandes villes surveillent de loin, a subi cette incroyable cicatrice du passé, parfois effrayée, et elle l'a en partie façonnée.

A lire aussisur les traces d'Albert London (9/18) pour les images de l'enfer de la prison

De Cayenne à Saint Laurent du Maroni, en passant par la forêt et les trois Il du Salyu (Royal, Saint Joseph et Diable), il reste des traces de la prison. apparaître. Ils sont plus ou moins ruinés et certains ont été restaurés. Ils forment un troupeau d'oppression, créant l'image d'un homme tatoué écrasant des pierres et l'image d'un superviseur vêtu d'un blanc pur colonial. L'île était même réservée aux prisonniers lépreux. La lèpre a été progressivement gaspillée par manque de soins. Henri…

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Le Figaro

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