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Ghosn : Deux juges de paix français interrogés à Tokyo

LeCarlos Ghosn de NanterreNouvelle étape de l'enquête : Deux juges de paix et un enquêteur français Arrivés samedi à Tokyo, Renault L'ancien patron de Renault-Nissan aux frais de.

Flux de 15 millions d'euros

L'ancien patron de Renault-Nissan, visé par un mandat d'arrêt d'un tribunal français, a déclaré en 2012-2017 Suspecté d'avoir grandi entre-temps, un programme organisé de blanchiment d'argent et de corruption par quatre membres du personnel du concessionnaire automobile omanais Suhail Bahwan Automobiles (SBA). Il n'est pas d'accord avec ces accusations.

Les deux juges de sûreté de Nantere, les juges et procureurs d'instruction du parquet environnemental et financier et les enquêteurs de l'Office central (OCLCIFF) pour la lutte contre la corruption et la délinquance financière et fiscale restent en poste et doivent confirmer l'inculpation de Nanter jusqu'à vendredi à Tokyo procéder à un contre-interrogatoire. Le but est de savoir si ces personnes interrogées étaient "informées" ou "vérifiées" sur les flux que la SBA a jugés suspects, a indiqué le parquet à l'AFP. ..

Ces flux sont évalués au minimum à 15 millions d'euros, selon des sources proches de l'enquête. Selon cette même source, il est possible de soupçonner que Carlos Ghosn a ordonné au distributeur SBA de payer la prime de Renault en raison d'indices sérieux ou concordants. "Et certains d'entre eux ont été envoyés dans une société écran qui appartient aux collaborateurs de Carlos Ghosn.

Mandat d'arrêt international

Carlos Ghosn et le fondateur de la SBA Une relation avec Un Suhail Burwan était au coeur de l'affaire, et Cheikh s'était notamment prêté.Selon deux sources proches du dossier, Carlos Ghosn aurait touché 25 millions d'euros dans le cadre de la "crise financière de 2008". à rembourser. 

La défense de Carlos Ghosn n'a pas pu être jointe samedi. Renault, la partie civile dans cette affaire, et son avocat se sont refusés à tout commentaire.

Mandat d'arrêt international contre Carlos Ghosn pour corruption passive, abus de biens sociaux, abus de confiance et blanchiment d'argent systématique le 21 avril, selon une information judiciaire tenue en février 2020. A été émis. Le juge chargé de cette enquête l'a convoqué pour un premier contre-interrogatoire le 19 mai, mais ce dernier a de nouveau justifié son absence en lui interdisant de quitter le Liban. ..