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En plus de ce trafic routier fluide, l’atmosphère hésitante au niveau des stations services et la présence remarquée des pick-up de la gendarmerie et de la police le long de de trajet ne presagent rien de rassurant.
D’ailleurs, entre Bambeto Hamdallaye, juste avant l’arrêt le prince, des jeunes gens ont momentanément interrompu la circulation avant de la rouvrir pour on ne sait combien de temps.
Une chose reste claire, ce mardi 5 septembre, l’atmosphère qui règne dans cette partie de Conakry n’est pas sans rappeler les heurts enregistrés la veille dans la haute banlieue de la capitale.
Loin de l’ambiance qui régnait il y a deux ans quand l’actuelle junte avait mis fin au régime très décrié d’Alpha Condé qui venait de s’inscrire dans une logique de confiscation du pouvoir.