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Tour de France : Proton respire après avoir eu peur

La deuxième étape, située sur un pont de 18 km, a marqué le cœur des coureurs pendant des mois. Nerveuse, elle a réservé quelques cascades mineures.

Envoyé spécial danois

"J'étais stressé, mais je pense que ça a empiré. Selon la direction du vent, tout le monde le savait n'arriverait pas très souvent, mais Proton était évidemment très nerveux. Tout le monde voulait être devant", résume le Gallois Geraint Thomas. Toutes les étapes de danger se sont terminées au sprint ce samedi en raison de vents contraires (était le BelgeWout Van Aert, avant le nouveau maillot jaune, le Néerlandais Fabio Jakobsenl'a emporté). A la fin d'une journée tendue et tendue, vous serez interrompu par une chute.

Top/flop de la deuxième étape du Tour de France

 : Jacobsen intouchable, Great Belt n'a pas vibré

le Belge Evelan Part (maillot jaune le samedi matin), le Colombien Rigobertouran, l'Australien Ben O'Connor (personne souffrant d'abrasion cutanée gauche, contusion à l'insertion du trochanter gauche et du genou gauche) et le Luxembourgeois Bob Jungels (souffrant d'une écorchures sur la fesse droite) ont été particulièrement touchés.

Pogačar a freiné

Tadej Pogačar a franchi la ligne avec un pneu crevé, mais a ralenti par les 3 derniers kilomètres de la chute (ce qui lui a fait du temps proton).Masu), automne. "Je suis content du déroulement de l'étape et j'espère que tu es sur la bonne voie. Beaucoup de monde était à terre, y compris certains de mes coéquipiers. Course folle Ce n'était pas le cas, mais il y avait encore beaucoup de tension", ont résumé les Slovènes.

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Soulagé de passer la course sans trop de dégâts (Stefan Küng s'est effondré), Philippe Mauduit, Directeur Sportif de l'équipe Groupama-FDJ, a déclaré  : "Le dessin de la course est nerveux, Hyper-technique, beaucoup de déviations, petites routes, grandes routes... tout ce qui rend Peloton très nerveux, et la tension des 20 derniers km de la course sur ce pont c'était la météo hier (vendredi). J'ai été dupé par le fait que j'étais' Je ne sais pas ce qui se remettait de la météo. »

Ce sont , Une étape qui laisse une marque sur les jambes de Proton

Philippe Mauduit, Directeur Sportif Groupama-FDJ Team

Et continue  : "Les consignes continuent, il fallait donc évitez de diminuer le risque Ne vous étonnez pas des moments non couverts où des accélérations ou des interruptions peuvent se produire. Il y a eu 5 ou 6 chutes en finale. Ce sont les étapes pour marquer les pieds de Peloton, mais il était important de bien les négocier. Cela aurait pu être une étape dangereuse..."