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Racine dure : François Gabert a modifié sa participation le 21 juillet

Le capitaine charentais a comparu devant le tribunal pour rejoindre la célèbre Transat, qui barre un nouveau bateau, jugé non conforme à la classe Ultim.

Du char de Breton aux tribunaux de Paris. Le différend entre François Gabart et Ultimate Classa franchi une étape importante jeudi en prévision du prochain parcours du durum. Le mythe selon lequel un skipper de 39 ans reste jusqu'ici à la porte après que ses rivaux Thomas Corville (Sodebo), Amel Le Claire (Banque Populaire) et Charles Cordrelier aient accusé le bateau d'être non conforme. Rothschild) et Yvre Brebeck (en fait).

Face à l'urgence du calendrier, Transat doit débuter le 6 novembre. Krsk Group, sponsor de Gabart, a saisi un tribunal à Paris et le Maxi Trimaran SVR Lazartig a largué les amarres à Saint-Malo. La justice doit déterminer la forme et non le fond du litige.

Au cœur du débat, le Protocole, signé par Clan Gabert et les propriétaires de la Classe Ultim le 16 février, a été rédigé par Charentais Melon si la Fédération Internationale de Voile (World Sailing) n'y participait pas. participer au Retour des conclusions sur ce sujet avant le 4 mars. L'avocat de Kresk a souligné que ce dernier avait donné à Gabart une interprétation désavantageuse le 7 mars. Dans ce cadre, La Classe Ultime souligne que ce document date du 4 mars et que le premier avis négatif a été publié sur le site de World Sailing le 23 février.

Gabart et le concepteur de bateaux VPLP ont été retirés du chantier le lendemain après avoir dénoncé l'utilisation d'un plan incomplet et non conforme à cette décision. Après les plaintes des deux parties, la décision a été suspendue le 21 juillet. Skipper, qui a comparu jeudi devant le tribunal, a déjà indiqué son intention de faire appel en cas de jugement défavorable.

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Même avant le lancement de juillet 2021, le nouveau bateau volant de Djokovic a suscité des doutes et du scepticisme parmi les Playmates. Il n'est pas conforme à l'une des Règles Internationales de Course au Large OSR (Special Offshore Rules). En particulier, pour des raisons de sécurité, le point 3.11 stipule que les marins manœuvrant les treuils de siège, qui sont des treuils servant à renforcer les cordages, ne peuvent être placés sous le pont du bateau. Pour la classe Ultim, c'est le cas du SVR Lazartig, où le cockpit avec le fameux winch est situé sous le pont. Soutenu par un plan d'architecte, un avocat de l'équipe de Gabert a été "dupé" par Ultim Class dans "Rafling Drawing" où World Sailing n'était pas de SVR.} Insisté devant le tribunal. Lazartigue. Pour ses concepteurs, le cockpit fait partie intégrante du pont et respecte le tonnage.

Pour des raisons administratives, après s'être réclamé "rejeté" de l'action en justice de François Gabert, le représentant de la classe Ultim a déclaré "équité des principes de sécurité. "Sexe" ignoré "". Ils rappellent en mai 2019 que le mesureur avait émis une réserve sur "la capacité à manipuler en toute sécurité la vision périphérique" après une visite sur site. SVR Lazartigue n'a pas fourni de "vue à 360 degrés" comme les bateaux concurrents (Sodebo, Edmond de Rothschild) dont les photos ont également été présentées au juge pour comparaison.

D'un point de vue d'équité sportive, le tracé condamné par la concurrence donne à Gabart un avantage aérodynamique indéniable. Chez Sodebo ou Edmond Delos Child, le cockpit est situé sur le pont, donc l'airflow n'est pas optimisé. "La plus grande résistance aérodynamique est le cockpit, expliquait récemment le skipper d'Edmund de Rothschild Charles CordrieEt celui de François est un gros avantage dans ce domaine, en centrant le poids. Vous pouvez aussi le mettre au centre de gravité pour réduire le poids. Mais il faut être sur la passerelle pour anticiper. François a la même interprétation de cette règle de sécurité qui s'applique à tous les bateaux. Tu n'es pas obligé, donc tu as besoin d'un arbitre, et tu as respecter la décision de l'arbitre".

Avant que le conflit n'éclate, certains experts enquêtaient sans réserve sur SVR Lazartigue et ses projets. L'automne dernier, Gabart et son co-skipper Tom Laperche ont obtenu une dispense de participation à la Transat Jacques Vabre (2e). Au retour, ses concurrents attendent que le vainqueur du Vendée Globe 2013 effectue le travail de "Conformité" en vue de la prochaine course (Route Durum, Brest Oceans).

"Nous avons construit le bateau le plus transparent possible. Des jaugeurs de la classe Ultim et des représentants de la Fédération Française de Voile ont vérifié le bateau pendant la construction puis à nouveau. , La classe elle-même. Les concurrents ne suivent pas les rapports de ces experts et ce n'est pas juste", expliquait Gabert au Figaro fin mars. Ce dernier accuse "une tentative incessante de nous éloigner".