France
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Le but de l'élection législativeest d'élire les députés, mais jusqu'à la prochaine mise à jour de laparlementaire, les fonds publics du parti seront utilisés. Condition .

Ce fonds public est divisé en deux parties. Le premier est lié au nombre de voix récoltées au premier tour. En règle générale, il gèle pendant 5 ans. La seconde dépend du nombre de parlementaires qui se déclarent à tel ou tel parti chaque année. Par conséquent, de nouveaux arrangements politiques s'accompagnent de nouveaux arrangements financiers.

Gagnants et perdants

Notre estimation (l'attachement du sénateur ne compte pas) est que le grand perdant économique des élections législatives est logiquementEmmanuel. C'est la majorité du président de Macron. (Peut-être 6,3 M€ de moins par an), suivi deLes Républicains(– 3,7 M€). A l'inverse,France Insoumise(+ 3,6 M€ par an), notamment leRassemblement National(+ 5,1 M€), a bénéficié d'une hausse des voix et des sièges de la rizière.

Partis politiques : les dessous financiers des élections législatives

L'exemple de PCFest intéressant. Celle-ci a stagné dans les sièges législatifs (12 élus), maisNouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes)En 2017, le PCF était effectivement représenté dans 440 circonscriptions, mais cette année il n'y avait que 55 circonscriptions. Très peu de voix.

Pour accéder aux fonds publics, un parti ou groupement politique doit avoir au moins 50 candidats au premier tour des élections législatives pour recueillir au moins 1% des voix. Selon nos calculs, c'est le cas pour 20 contre les 16 précédents. Ce chiffre ne tient pas compte des formations qui n'existent que dans les régions d'outre-mer bénéficiant d'un régime particulier.

Partis politiques : les dessous financiers des élections législatives

Financement anti-NupesPS

Néanmoins, ces chiffres sont provisoires. En premier lieu, le vote des candidats n'ayant pas déposé de compte de campagne ou ayant été rejetés par le Compte National de Campagne et la Commission des Financements Politiques (CNCCFP) ne sera pas pris en compte. Deuxièmement, les structures qui ne respectent pas la parité dans votre candidature s'exposent à des sanctions financières. C'est notamment le cas des républicains.

Enfin, nous ne connaissons à ce jour que les candidats réclamés par les partis ou groupements politiques pour bénéficier de l'aide publique. La liste a depuis été soigneusement publiée en ligne sur le site du ministère de l'Intérieur. Deuxième tour. Pourtant, certains candidats ont été agréés par plusieurs mouvements, et l'attachement qu'ils ont choisi lors de la proclamation de leur candidature au sein de la préfecture n'est connu qu'après l'annonce de la première loi sur la répartition des aides publiques l'an prochain.

Exemple : Marry France Loryo, agissant pour la Ligue du Sud réélue du Vaucluse, apparaîtra à la fois dans le Rassemblement national de Marine Le Pen et Reconquete. Par Éric Zemmour.

Ces chiffres sont également différents des résultats des élections, car les organismes de financement peuvent être disponibles pour plusieurs groupes. C'est ainsi qu'une trentaine de dissidents du PS, contrairement à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), ont rejoint le parti d'extrême gauche pour s'assurer indirectement une partie des financements publics.

Non-transparence des électeurs

Une autre structure sert d'élément très diversifié, le receveur financier des territoires et des personnes solidaires. Politiquement, c'est une véritable coalition de partis régionalistes : parlementaires européens (élus sur la liste de Yannick Jadot), sénateur, et quatre députés réélus aux législatives (Paul Molac (Bretagne), Jean-Félix Acquaviva, Michel Castellani, Paul André Colombani (Corse).

Juridiquement, son association de financement dispose d'une liste hétérogène d'organismes, financés par des fonds publics dans presque toutes les sphères politiques. Permet de bénéficier indirectement de. Isolés, ceux-ci risquaient d'avoir trop peu de candidats ou n'ayant pas 50 dans plus de 1% des voix.

A l'extrême gauche A rejoint les candidats investis ou soutenus par le NPA de Philip Putu. A gauche, par exemple, le mouvement Place publique de Rafael Glucksmann. A l'extrême gauche à droite c'est Le Nouveau d'Elve Moran. Centre-Pour les membres du Parti du Milieu. Sans oublier le mouvement de la résistance. Bref, le vrai patchwork politique de Jean LaSalle ou des Pirates.

De même, le sortant Député Ensemble pour les Libertés Le partiMartineWonner(non réélu) est un fonds paritaire, Les Écologistes-Mouvement Écologiste Indépendant (MEI).Les électeurs n'ont pas pu découvrir qu'ils aidaient un groupe co-mangeur sous l'influence du complot en même temps. Une violation de la transparence démocratique.