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Loi sur les droits d'achat : le gouvernement a du mal à sortir de "tout ce dont vous avez besoin"

Après une longue attente, un projet de loi sur lesdroits d'achata finalement été annoncé lors du Conseil ministériel du jeudi 7 juillet. Grosso modo, les mesures révélées étaient largement connues : maintien du bouclier douanier d'ici la fin de l'année, triplement de la prime Macron, exonérations d'impôts et de dons, revalorisation des retraites, minima sociaux, allocations familiales ou encore redevance TV, etc. 6}

Cependant, certains détails sont peaufinés jusqu'au bout, comme un bonus carburant de 18 centimes. Cela se poursuivra jusqu'à la fin de l'année, mais diminuera progressivement à partir de 18 cents en septembre. Il passera de 12 centimes à 6 centimes fin 2022. À partir du 1er octobre, des allocations de carburant seront introduites pour les travailleurs à faible revenu et les gros navetteurs. Des primes qui varient entre 100 et 300 euros selon la composition du foyer et la distance parcourue.

Des mesures que l'opposition juge insuffisantes

Si le besoin de telles dépenses semble être équitablement partagé, alors l'adoption de ce texte relève de l'oppositionJe promets d'être turbulent au Congrès. Je pense que c'est presque insuffisant dans son ensemble. L'agent de Nupesa déjà déposé une contre-proposition recommandant un gel des prix et une augmentation du salaire minimum à 1 500 €.

Quant aux Républicains, ils continuent de réclamer des mesures de délestage (le gouvernement se dit ouvert) et un gel du prix du carburant à 1,50 € le litre. Cette mesure a été jugée trop coûteuse par le ministre de l'EconomieBruno Le Maire. Il me rappelle toujours qu'il est temps de tourner la page "peu importe quoi"ces derniers temps.

A l'exception de ce nouveau paquet de contre-mesures, qui vient d'être revalorisé par le gouvernement à 20 milliards d'euros, le message ne passera pas. Parmi les plans les plus coûteux figurent les remises sur le carburant, qui devraient coûter 7,6 milliards de dollars supplémentaires.

Achats : Insatisfaction croissante sur le salaire

Mercredi,Dans son discours de politique générale, la Première ministre Elizabeth Bourne a déclaré en 2022. Protégez votre pouvoir d'achat tout en atteignant l'objectif de réduction du déficit de 5% et 3% d'ici 2027. Cependant, le tribunal, qui a publié jeudi un rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques, a jugé la promesse moins fiable.

La promesse de réduire le déficit semble moins fiable

Selon le sage de la rue Cambon, qui cite le budget révisé, les dépenses publiques de cette année sont comparées à ce qui était prévu. 60 milliards d'euros. Avec le droit financier précoce. La facture s'explique par les 25 milliards d'euros déjà dépensés pour lutter contre l'inflation depuis le début de l'année et une augmentation de la charge de la dette liée à l'inflation d'environ 18 milliards d'euros.

Bien sûr, legouvernementpeut également compter sur l'inflation pour remplir ses ressources financières. "Chatons supplémentaires" environ 57 milliards d'euros, grâce à l'augmentation des dons et des recettes de TVA.

Cependant, selon le tribunal, cet excédent de revenu n'est pas certain. "Pour boucler le nouveau budget, le gouvernement s'attend à une croissance moyenne de 2,5 % et à une inflation de 5 % chaque année. Ce n'est pas complètement irréaliste, mais ces perspectives sont très optimistes pour nous. Cela semble être l'objectif", expliquele président Pierre Moscovici.

La hausse des taux d'intérêt soulève des inquiétudes quant à l'équilibre des finances publiques

À mesure que les taux d'intérêt augmentent, le fardeau de la dette peut augmenter progressivement, de sorte quepublic Il est devenu un élément centraldans le dernières semaines alors que les problèmes financiers se reproduisent. Il n'y a pas que la cour des comptes qui a tiré la sonnette d'alarme.

Dans unelettre annuelle au Président de la République française, François Villeroy de Garhow estime qu'il est temps de sortir de l'illusion. Très séduisant. C'est un moyen très dangereux, mais sans restriction, La dette publique française. »Le débat ne manque pas de faciliter le débat qui se tiendra au Congrès le 18 juillet.