Abonnés uniquement

Douser, Claude Harvey dans le sud de Paris, cherchant de l'eau au marché le vendredi 17 juin, Chailly-en-Bière, Jardins de Seine-et-Marne.François Buchon / Le Figaro

Contact-Ils utilisent des bâtons "cadeaux" et des pendules au sol Is trouver de l'eau dans les intestins. Anciens mécaniciens, paysans... ils y voient des coutumes ancestrales héritées de leurs grands-pères et rendues au monde d'aujourd'hui grâce au climat tumultueux.

Soudain, je pouvais lire ma concentration sur son visage. Claude Harvey a besoin de silence et de baguettes métalliques pour se connecter au sol sous-jacent et percer le mystère de la vie à la source des pieds ondulants. Même une brève démonstration mardi après-midi, Aeon, qui a accepté de le faire dans le jardin sous le soleil brûlant,Douser, qui habite Courances, Essonne, doit remplir toutes les conditions. « Loin, tu me gênes »,, marmonna-t-il sans ambages.

Vous devriez relireCanicule : pénurie d'eau dans les nappes phréatiques

Les deux tiges parallèles qu'il tient délicatement à deux mains vont se rejoindre et se croiser, comme si elles les laissaient libres. "Le voici"dit-il. En 2002, à l'intersection formée par deux branches métalliques, il découvre l'existence d'unerivière souterraineet fait appel à une excavatrice. Ce dernier a creusé les intestins de la Terre jusqu'à ce que l'eau jaillisse : retrouvé à 34 mètres de profondeur, comme l'a calculé Douser. Sa…

Cet article est réservé aux abonnés. Les 89 % restants ont été retrouvés.

Conseil de la rédaction