France
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Kaltoum Gachi, Jean-François Quantin, François SautereyCoprésident du Mrap

Samedi juin Le 25  , à la Bourse du travail de Paris, rue Charlot, s'oppose au racisme et au Mouvement pour l'amitié entre les peuples (Mrap) pour célébrer le 1er juillet les 50 ans de la loi. Nous organisons une journée de réflexion. Du nom du ministre de la Justice, qui s'attribua le mérite d'Alain Terrenoire, le plus jeune adjudant et rapporteur du projet de loi, adopté à l'unanimité des parlementaires en 1972, dit loi Pleven.

Cette loi joua un véritable moteur, et le 13 juillet 1990,  , le Député Jean-Claude, visait à endiguer la contestation des crimes contre l'humanité. Complétée par la loi proposée par Gaysotto . Le statut du tribunal international de Nuremberg. Avec cet ajout, le Mrap a pu reprocher à Jean-Marie Le Pen d'avoir qualifié la chambre à gaz de"détails de l'histoire".

La vérité historique appelle à souligner le rôle fondamental du Mrap et de l'un de ses présidents, Léon Lyon-Caen, ancien président honoraire de la Cour de cassation. De Mrap ! Notre mouvement n'a cessé d'exiger que la France se dote d'armes législatives pour lutter contre l'expression du racisme ces dernières années. Imposer des sanctions.

Il ne s'agit pas seulement d'opprimer et de punir de manière exemplaire les propos racistes, mais aussi toutes les formes de racisme lors des procès. Son adoption à l'unanimité a montré à l'époque que le texte était essentiel et répondait en même temps à une aspiration légitime.

Nul doute que si cette loi était votée aujourd'hui, elle ne recevrait pas le même soutien. Et il y a une bonne raison.

L'ascension fait de ce 50e anniversaire un lieu privilégié, sinon anodin, pour les idées racistes dans notre pays. Ce contexte invite à se demander ce qui a conduit à une telle situation. La validité de cette loi ne devrait-elle pas être améliorée ? Les sanctions sont-elles vraiment adaptées au problème actuel ?

Ce sont les interventions d'éminents universitaires, notamment le professeur Daniel Roshak et le professeur Thomas Hockman, praticiens, avocats expérimentés en la matière, Maîtres Jean-Louis Lagarde, Didier.C'est la question à laquelle la journée s'apprête à répondre. Seban, Leon Lev Falter, Arrie Arimi, ainsi que le président de l'Association de lutte contre le racisme. Georges Po Langevin prendra la parole pour les avocats pour se pencher sur l'avenir de la loi sur la propagation de la haine sur les réseaux sociaux.

La loi de 1972 est empreinte de soucis d'égalité et de justice pour tous et mérite à la fois respect et questionnement.