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Emmanuel Macron : Face à l'opposition, quelle solution gouvernez-vous ?

Emmanuel Macron : face à l'opposition, quelles solutions pour gouverner ?Macron. Emmanuel Macron a proposé deux solutions pour s'opposer au « dépassement politique » au parlement et pour gouverner le pays avec « clarté » : gouvernement de coalition ou accord au cas par cas.

[Mis à jour à 18h55 le 23 juin 2022] Sortie du gouvernementUnité nationale. Cette idée a été rejetée à la fois par l'opposition et par Emmanuel Macron lui-même lors de son discours du 22 juin. Lors d'une série de face-à-face du chef de l'Etat avec les représentants politiques des partis qui formaient le groupe au parlement, le projet était clairement vide. Dès lors, Emmanuel Macron a tiré de son chapeau deux nouvelles propositions pour conclure un "gouvernement de coalition" ou un "accord" au cas par cas, selon un texte voté au parlement. Comme ces stratégies étaient déjà évoquées par certains conseillers au lendemain de l'élection législative, il y a des propositions qui ne sont finalement pas aussi nouvelles que l'exécutif. 

Emmanuel Macron peut-il mieux réussir à l'opposé de ces deux scénarios ? Si tous les partis de la gauche radicale à l'extrême droite ont promis de ne pas tomber dans « l'obstruction systématique », selon l'expressionMarine Le Pen, ils sont clairs et intentionnels. t exister. A l'exception du modem de François Bayle et du parti d'Edouard Philippe, Horizons, il s'est allié au gouvernement et a appelé à une "coalition nationale" ou "grande coalition". Emmanuel Macron a proposé deux solutions en témoignant des Français. C'est comme démontrer la volonté d'aller de l'avant avec l'opposition et de forcer les opposants politiques à travailler. Sinon, le chef de l'Etat peut pointer le manque de coopération des opposants. Il a expliqué que les pourparlers avec les dirigeants politiques reprendraient dès son retour du sommet international dès le milieu de la semaine prochaine. DansFranceinfoce matin, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a indiqué qu'une nouvelle série d'interviews pourrait être programmée.

Républicain, opposition constructive à Macron.

Le patron républicain Christian Jacob a ouvert le bal des pourparlers le mardi 21 juin à 10 heures le . Bien que considéré par le Congrès comme un vote préliminaire pour la majorité desprésidents, la controverse était attendue alors que les droits revendiquaient l'opposition. A l'issue de la rencontre avec Emmanuel Macron, les Républicains ont confirmé sa position  : "Il n'y a pas de problèmes avec les accords de gouvernement ou les coalitions." De son côté, Christian Jacob a assuré au président républicain que le groupe LR ne serait pas "bloqué" au parlement, mais ne trahirait pas {ses) électeurs. 88}Le FigaroEmmanuel Macron sera également vécu par LR comme un nouveau braconnage [] provocation supplémentaire aux yeux des Républicains , qui va créer des tensions dans les groupes parlementaires.". Avertissement et demande subséquente  : Prendre en considération plus de parlementaires.

François Bayle invite Emmanuel Macron à s'unifier 

François Bayle est un fidèle allié d'Emmanuel Macron, mais il est le patron du modem N'oubliez pas. Avec une majorité de présidents, il pèse plus que le précédent quinquennat. Il a également semblé frustré par la règle solitaire du chef de l'État et l'appelle maintenant à mener des discussions et des discussions avec d'autres forces, non seulement au sein de la majorité mais aussi avec des opposants. Un scénario incontournable pour la relative majorité du Palais Bourbon, sans plaire à Emmanuel Macron. Selon le patron du MoDem, Emmanuel Macron doit être "au plus près de l'unité du peuple". "Même s'ils sont chauds, nous faisons fondamentalement ce que les citoyens attendent de nous en coopérant le plus possible dans des discussions respectueuses et ouvertes", à la sortie de l'Elysée, ont ajouté les centristesAFP

Olivier Fall et le PS, « disposé » à aller de l'avant, mais toujours sceptique.

"Jupiter est terminé." Olivier Fall a voulu mettre en forme avec une interview d'Emmanuel Macron et lui faire comprendre que l'opposition doit être prise en compte. Selon les socialistes, le chef de l'Etat a donné son accord avant de poursuivre le débat. Dans l'opposition et les membres du Nupe, les socialistes restent "disposés à avancer" avec le gouvernement uniquement si le gouvernement suit le programme du PS, notamment en matière de pouvoir d'achat, en prenant par exemple des mesures avec une augmentation... Le Smic mesure ce qui est important pour l'esprit socialiste. Olivier Fall a entendu une sorte de perception d'Emmanuel Macron après lerésultat des élections législatives, mais il n'avançait pas sur ce qu'il pouvait tirer de cette conversation. ,AFPJournaliste : "Est-ce c'est juste un progressif ? Je verrai dans les prochains jours."

Emmanuel Macron s'entretient également avec Marine Le Pen et le RN.

Marine Le Pen, la dirigeante du Rassemblement national, a également été invitée à l'Elysée le 21 juin. Elle entend jouer un rôle face à Emmanuel Macron comme promis lors de la campagne des législatives, mais a expliqué au chef de l'Etat ne pas tomber dans une "obstruction systématique" de la politique. "Si les mesures vont dans le bon sens, nous voterons pour elles […], si elles vont dans le mauvais sens, nous les corrigerons et elles ne seront pas corrigées comme nous le souhaitons. Si nous nous y opposons", a-t-il rappelé. qu'elle avait passé son opposition ferme à la réforme des retraites, et est tombée àAFP.

S'il est difficile d'imaginer la coopération entre Macron et l'extrême droite, malgré le récent appel des pieds à l'extrême droite d'Eric DuPont Moretti et Céline Calves en début de semaine, "People Unification" Le gouvernement pourrait aussi être impliqué dans le RN. Dans une interview, Emmanuel Macron évoque le projet devant Marine Le Pen, suite à la déclaration de l'adjudant toujours àAFP. La situation ne justifie pas le gouvernement d'union populaire.

Fabian Roussel, dernier invité de la première journée d'entretiens avec Emmanuel Macron, "considère" le chef de l'Etat "à la société". Projet de gouvernement d'union. Selon le Parti communiste, le chef de l'Etat justifie sa proposition en cherchant "une issue à la situation politique" au parlement. "Il examine la Constitution du gouvernement d'union nationale du Myanmar, si une partie y participe", ou "cherche de l'aide au cas par cas", identifiant le chef du PCF dans la chaîne de continuation. Information dans la nuit du 21 juin. Au moment d'étoffer la proposition d'Emmanuel Macron, Fabian Roussel a également expliqué qu'il refusait d'adhérer au syndicat, arguant qu'"il y a une tendance à se méfier de vous, ce qui est impossible. Vous ne comprendrez pas".

Un dialogue brisé entre Emmanuel Macron et LFI.

Au terme de la deuxième journée des pourparlers, l'insoumis Adrian Quatenens est le seul représentant politique à étoffer le contenu de sa discussion avec Emmanuel Macron dans les médias. Face à l'idée du gouvernement d'union nationale, l'adjudant du Nord a assuré que la France insoumise n'était "pas candidate à un quelconque projet ou participation au gouvernement avec le président de la République". Selon les élus, une position catégorique expliquée par un simple « pourquoi notre diagnostic politique oblige un gouvernement à faire exactement le contraire de sa politique ». La rencontre entre Emmanuel Macron et Adrian Quatenens place LFI dans l'arène politique anti-républicaine, appelant le chef de l'Etat à "appeler ceux qui parlent trop en son nom". C'était aussi une opportunité. Au passage, Emmanuel Macron a affirmé penser le contraire. Sur le délicat agenda du premier ministre, le député LFI, comme le nom d'un parti de gauche radicale, a exigé qu'Elizabeth Borne se soumette à un vote de confiance devant le parlement.

Est-il possible d'avoir une "grande coalition" entre Edouard Philippe et Emmanuel Macron ?

Emmanuel Macron a également invité le chef du parti Horizon, son ancien Premier ministre et aujourd'hui député. Les membres de la majorité présidentielle appellent à la formation d'une "grande coalition" rassemblant les forces de gauche et de droite pour gouverner le pays pendant son quinquennat. Une idée qu'Emmanuel Macron aurait entendue qui aurait proposé un tel projet à tous les opposants. Pourtant, dans son allocution mercredi soir après deux jours de pourparlers, le chef de l'Etat a jugé qu'il s'agissait d'une "injustice" et l'a présenté comme un projet d'opposition, rejetant l'idée. L'échec d'Edouard Philippe. Le maire du Havre est très prudent depuis son départ de l'Elysée.

Position d'EELV sur Emmanuel Macron.

Europe Écologie Les Verts est le dernier parti accepté par Emmanuel Macron dans la logique de consultation de l'opposition. C'est Julian Bayeux, chef du parti et adjudant de Paris, qui s'est rendu à l'Elysée, mais il a été le seul à ne pas donner d'informations sur son interaction avec Emmanuel Macron. Les écologistes ont critiqué à plusieurs reprises l'inaction face au changement climatique durant le premier mandat du président de la République, alors soit ils bloquent sa politique en refusant de rejoindre le gouvernement d'union nationale, soit à l'inverse, ce sont des socialistes. majorité aiment (sous certaines conditions) faire passer leurs mesures ? Le problème demeure.

Emmanuel Macron s'interroge sur le maintien d'Elizabeth Borne.

Selon une déclaration précise de l'homme politique consulté, Emmanuel Macron aurait également mesuré la température de ses alliés et de ses opposants quant au maintien d'Elizabeth Borne au poste de Premier ministre. .. Le chef de l'Etat s'interrogera sur la capacité de son bras droit actuel à former une fédération. Ou demandez-vous confirmation du renouvellement de l'ancien ministre du Travail de Matignon ? Impossible de savoir ce que tous les responsables politiques ont répondu, mais François Bayle lui a donné un avis dans les médias. Le patron du MoDem semble plaider pour un changement de locataire de Matignon, jugeant qu'Elizabeth Borne n'est pas assez "politique" pour faire face à la situation actuelle. LR Christian Jacob n'était pas mouillé, et il le reconnaît. "Si elle dit qu'elle n'a pas raison, tu dois te dire qui mettre à sa place, mais c'est ta responsabilité, alors ne perds pas ton temps là-dessus", a-t-il déclaré à Emmanuel Macron.Quant au communiste Fabian Roussel, la question du Premier ministre doit porter sur le comportement, pas sur la personnalité : « Le sujet, ce n'est pas l'homme, ce qui compte, ce sont les mesures.