France
This article was added by the user . TheWorldNews is not responsible for the content of the platform.

Emmanuel Macron en quête d'une ligne d'eau

Le chef de l'État a accordé à la Première ministre Elizabeth Borne une "confiance à long terme" pour obtenir une majorité au parlement, selon le texte.

Pendant la guerre en Ukraine et les troubles dans le monde, Emmanuel Macron a également organisé un second quinquennat. De retour de Bruxelles,27 ont officiellement approuvé le candidat de l'Ukraine à l'adhésion à l'UE, et avant de partir pour Berlin, les membres du G7 ont subi les conséquences d'une guerre contre la sécurité alimentaire. Mais même avec la crise climatique, le président de la République continue de tirer les leçons des élections législatives.

Articles associés"Tout attend" : Le centre du gouvernement suspendu

Au terme des 48 heures qu'il a laissées à l'opposition pour clarifier leur position, le chef de l'Etat a retiré la première hypothèse, l'hypothèse d'un changement à Matignon. Cependant, début juillet, il a été confirmé un instant que le gouvernement l'avait remodelé. "J'ai décidé de confirmer ma confiance à Elizabeth Borne.a annoncé le président de la République à l'AFP samedi soir. Le Premier ministre a pris des mesures gouvernementales pour notre pays. Je suis confiant de prendre la diriger sur le long terme."Maintenant, 289 personnes sont la ligne de flottaison pour mener des discussions avec les groupes d'opposition pour trouver un moyen d'accéder au parlement et de faire passer la réforme. C'est à elle d'atteindre la barre du membre du Congrès.

Emmanuel Macron cherche désormais un accord au cas par cas, car les traces du gouvernement de coalition semblent désormais exclues. Cela a été observé la semaine dernière au sein du parti politique"des dissonances se sont exprimées".

C'est ici l'ancien candidat écologiste Yannick Jadot qui assure que les Verts sont "toujours prêts au compromis". Il s'agit du communiste Fabien Roussel, qui se dit"prêt à rejoindre"Les chiffres LR ne ferment pas la porte à la coopération avec le chef de l'Etat Enfin et surtout du côté droit. Dès lors, Jean-Rotner, président LR de la région Gran Est, assure qu'"il faut apprendre à travailler avec Emmanuel Macron".Idem Christer Moransai, Président de la Région Pays de la Loire. , Il dit qu'il préfère"mains tendues"à"poings fermés".Et comme Philippe Juvin, Jean-François Copé ou Catherine Vatrin.

En raison de leur expression et de leur fonction, ces formations ne sont pas enregistrées comme partis de gouvernement

Emmanuel Macron

Républicains, écologistes, communistes, pourquoi pas socialistes... C'est le soutien du chef de l'État et du nouveau gouvernement C'est un domaine où on a même envie de choisir un ministre. Il s'est arrêté à la frontière entre la France et le Rassemblement national en désobéissance et a fermé la porte. "De par leur expression, leur position, ces formations ne sont pas enregistrées comme partis politiques du gouvernement",tranche-t-il.

Alors, bien sûr, chacune des parties invitées à coopérer fixe les conditions. Et même dans la majorité, certains commencent à souffrir du regard du chef de l'Etat sur son flanc gauche, surtout sur son flanc droit. Comme François Bayle, il a commencé à entendre la différence en disant"je ne suis pas d'accord"à propos du projet phare du Président à l'école. C'est pour que le directeur puisse lui-même embaucher un enseignant.

Articles connexesUn vote de défiance, un vote de défiance, 49.3, dissolution, blocage du vote. Consignes au Parlement sans majorité absolue

Malgré tout, Emmanuel Macron entrevoit désormais la possibilité de donner à sa majorité relative un « flottement » à droite ou à gauche. Selon Emmanuel Macron, chacun sera actif selon la loi en cours de vote et diffusera"La plupart des idées sur le texte". La majorité est plus gênante que les stables, mais la majorité est tout de même pour l'investigation et l'adoption des quatre grands projets du chef de l'Etat. D'abord, la loi sur le pouvoir d'achat. Puis une personne à temps plein. Ensuite, la méthode énergétique. Enfin, je voudrais parler de la santé, qui comporte deux volets : les hôpitaux et les crises sanitaires.

"Le président veut la stabilité", explique l'assistant d'Emmanuel Macron. Il s'agit d'établir un agenda clair des réformes à mettre en œuvre dans le pays dans les prochains mois. Surtout celle de la retraite à laquelle le président de la République ne renonce pas. C'est"Travail français plus long","Comme tous les voisins, considérez les conditions de travail et donc les carrières longues, les règles de la difficulté Le but est de "prendre en compte"",explique le Chef d'état. La réforme qu'il veut mener est le plein emploi"Garder des ambitions lors des pourparlers, sans totems ni tabous."

Le Premier ministre ne recherche la confiance en soi que s'il peut l'obtenir avec confiance. Et peu importe que Jean-Luc Melenchon et la désobéissance de La France crient pour ce scrutin

Cette semaine, Elizabeth Borne s'est crié dessus, chacun Découvrez à quel point vous êtes prêt à aider. Pour la réforme du gouvernement. Surtout pour voir si Elizabeth Borne peut solliciter un vote de confiance au Congrès après avoir abordé la politique générale. "Cette question sera déterminée en fonction de ces consultations, de la feuille de route présentée, et de la composition du nouveau gouvernement que je me propose",indique Emmanuel Macron.

De toute évidence, le Premier ministre ne recherche la confiance que s'il peut l'obtenir en toute confiance. Et peu importe que la désobéissance de Jean-Luc Mélenchon et de La France crie et demande explicitement ce scrutin. Dans l'administration, les dirigeants d'Insoumis ont toujours soutenu Michel Rocard, alors que Michel Rocard rappelle à tous les niveaux qu'il n'a jamais recherché la confiance du Congrès lorsqu'il était premier ministre. Grâce à ce précédent, Elizabeth Borne est prête à exempter le vote de confiance.