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Présidentielle LR : dates, favoris... Ce qui s'en vient Les Républicains

Election du président de LR : date, favoris... Ce qui se profile pour Les Républicains Pour les gouvernements de droite qui ont besoin de se réincarner, la réunion d'élection des chefs de parti est l'occasion de resserrer les rangs. Pourtant, les nouveaux candidats témoignent de fractures idéologiques et générationnelles.

"J'ai besoin d'un phare aujourd'hui." Cette phrase, extraite de l'article du Figaro, vient de Christian Jacob, qui vient de démissionner de la présidence de la République. Et qui cherche son successeur. Pour le moment, il sera remplacé par la vice-présidente Annie Genevard, qui opère rue Vaugirard jusqu'à la prochaine réunion prévue à l'automne. Les droites incarnées par LR tendent à s'imposer comme le groupe parlementaire central de ce nouveau parlement fragmenté, mais un manque de leadership se fait sentir. Qui reprendra cette fonction centrale ? Sans surprise, mon préféré estLaurent Wauquiez. En effet, le président du conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes a connu sa position de 2017 à 2019 et est aujourd'hui bien reçu. Des chefs de parti, avant même d'officialiser sa candidature. Une carte senior lui suffit-elle pour décrocher un emploi ? ne sait pas. Il faut dire que la concurrence est féroce. De nouveaux gardes incarnés par le jeune secrétaire général du parti Aurélien Pradié continuent de surveiller. Si elle échoue à faire élire Julian Dive à la tête d'un groupe parlementaire (Olivier Marlakes l'a finalement emporté le 22 juin), elle est porteuse de valeurs qu'elle se veut plus modernes. uni. Nous examinerons les enjeux de cette élection.

La démission de Christian Jacob a provoqué plusieurs vagues. Ancien ministre, ancien maire d'Etat, ancien président du groupe UMP, puis LR (2010-2019) au Parlement, il a pris les commandes du parti en octobre 2019. Il était connu pour sa capacité à fédérer et à faire la fête. Ensemble en considérant la période électorale de 2022. Cependant, les formations affaiblies par le résultat des élections traversent aujourd'hui une grande variété de frontières politiques et idéologiques, menaçant leur unité. A commencer par l'héritage laissé par Christian Jacob, peu de sujets font l'unanimité. Le Mondea fait l'éloge de l'ancien président « chiraquien » d'Aurélien Pradié. Il a pu transmettre son expérience à de nouveaux gardiens. Cependant, le média a également cité l'eurodéputé Brice Hortefeux, qui a une nuance plus subtile à propos de son ex-patron , évoquant son manque d'incarnation fonctionnelle et son côté "non-président".

Par ailleurs, ce départ de Lou Voguilard intervient alors que le président de la République est en pleine négociation avec les leaders de l'opposition. De fait, le groupe LR joue un choix non majoritaire au sein de ce nouveau parlement et est tiraillé entre deux adversaires indissociables (c'est-à-dire le Nupes et le RN). Depuis la perte de la majorité absolue le 19 juin, les droits du Parti républicain, qui compte environ 70 agents, pourraient être un véritable allié du camp présidentiel face aux difficultés. Dès lors, le choix de son chef est crucial pour l'avenir de la vie politique française et conditionne une partie des rapports de force à l'intérieur d'un demi-cycle. 

Le parti se réorganise dans son ensemble. Olivier Marlakes a été élu à la tête du groupe parlementaire le 22 juin à un tournant peu après le départ deDamian Abad, conquis par la Macronie. Et le changement ne s'arrête pas là. Cecil Riches, ancien directeur de la communication du parti, remplacera l'actuelle directrice de la communication d'Anne Geneve, Marie Eve Malloynes. De son côté, Cecil Riches devrait être secrétaire général à partir de septembre. Elle a succédé à Jean-François Verdier à ce poste, et Jean-François Verdier est placé au contrôle du parti dans le cadre de lui. 

Le meeting républicain pour la nouvelle élection présidentielle se tiendra en novembre 2022. Si le meeting d'octobre 2019 s'est déroulé sans surprise, le candidat largement soutenu Christian Jacob l'a emporté en tête. Ronde avec plus de 62% des voix, cette fois Suspense devrait être au rendez-vous. D'autant que le futur président a peut-être un avenir de président, « il faut que je fasse en sorte d'enlever les choses primitives que j'ai aussi retirées de la loi LR, et mon successeur sera candidat en 2027. Faut que ce soit intentionnel », a expliqué Christian Jacob. Interviews disponibles sur le site républicain

Depuis 2021, la vice-présidente républicaine Annie Genevard est présidente par intérim du parti depuis le 1er juillet. Cette mission doit le garantir pendant au moins cinq mois, lorsque l'élection pour désigner le président officiel aura lieu à l'automne. 

Aurélien Pradié, le représentant de la nouvelle génération de partis, est l'un des candidats les plus fiables et potentiels. Proche de Christian Jacob, il est devenu secrétaire général du Parti républicain après avoir été élu chef en octobre 2019. Il a été très actif en Oxitanie et a été conseiller général du Lot, maire de Cour de Course et conseiller local d'Oxitanie. Dès ses débuts en politique, il a mêlé ses ambitions professionnelles à son attachement au territoire en devenant le président de la jeune UMP Durot. En 2022, il est réélu au nom du premier député du lot après une campagne remarquée dans la région.

Sur le plan idéologique, il revendique son appartenance au secteur social du parti, George Pompidou, et a souvent abordé des sujets de société comme la pauvreté, le handicap et les violences faites aux femmes. Il s'interroge sur la prédominance du libéralisme économique dans la société et estime que les enjeux sociaux sont aussi importants que l'aspect souverain de la gouvernance. Interrogé par MidiLibre, il a évoqué le "message national" que les électeurs ont envoyé aux législatives. Des gens qui portent un message politique populaire et de justice sociale. » Ainsi, défendant sa lignée politique, il a affirmé que "ce qu'il nous reste à faire, c'est la voie de la reconstruction politique". Pour Aurélien Pradie et la jeunesse du Parti républicain qu'il incarne, l'idée de fin d'ère est "une réalité" et il est temps de "prendre le relais".

De nouveaux gardes sont organisés. Mais cela ne dépend pas de la ténacité des anciens. Là encore, la crédibilité de Laurent Wauquiez grandit au sein du parti. S'il n'a pas encore manifesté d'intérêt pour ce poste, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes est largement attendu. Recueilli par Michel Barnier, qui lui attribue la "position centrale" d'"homme politique", à Bruno Retaillow, qui revendique les "attentes énormes" d'une incarnation de membre du parti (Le Figaro. Commentaire), il est le protagoniste. Christian Jacob s'est félicité. "Laurent est l'homme qui rassemble toutes les qualités dont il a besoin", a-t-il affirmé dans un entretien avecRufigaro, précisant qu'il confondait les raisons de lui faire confiance. "Il a été solide dans l'adversité", a-t-il expliqué, constatant l'échec collectif des européennes en 2019, alors que le parti n'obtenait que 8,48% des suffrages. Il a également évoqué le travail des élus d'Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est aujourd'hui récompensée par une note législative. "Sur les 61 agents LR, le troisième vient de cette zone." Fort de son expérience de ministre, il a été secrétaire d'État François Fiyon lorsqu'il était Premier ministre, porte-parole du gouvernement de 2007 à 2008, ministre de l'Europe de 2010 à 2011 et ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche à partir de 2011. à 2012. Servi. Il est considéré comme le plus apte à assumer les responsabilités imposées au chef du parti.

Outre ces deux noms, le nom du maire de Troyes François Baroin est également sur le marché. Un ancien président de l'Association des maires de France et fervent partisan de François Fiyon lors de l'élection présidentielle de 2017 pourrait être le troisième sur la liste des personnalités les plus attendues. Pensez aussi au président du Conseil régional de l'Aude, Xavier Bertrand, qui est revenu sur le devant de la scène malgré une défaite majeure à la Primaire du parti en décembre 2021 (donné favori, lui). votes, premier tour). Grand ennemi de Laurent Wauquiez, il a quitté le parti en 2017, ce dernier prenant la tête. Il pouvait désormais le défier dans cette course à l'élection présidentielle. Au début de l'année scolaire, vous devez fournir des détails précis sur ce candidat tant attendu à l'élection.