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"C'est un jeu collectif qu'il faut porter" (Jean-Louis Maurizi, Medef Sud)

C'est une reprise en main en douceur, car on peut dire qu'il n'y a presque pas l'ombre d'un morceau de papier à cigarette entre

Yvon Grosso etJean-Louis Maurizi. Entre l'actuel ancien président du Medef Sud et son successeur. En fait, le second a pris du retard sur le premier ces dernières années. Sujet important, le projet a démarré, mais est freiné dans la situation actuelle, autant dire que Jean-Louis Maurizi, chef d'entreprise à souhait, les connaît bien.

Si le programme Cap Raison d'être, qui était à l'origine dans la catégorie des 140 entreprises, était suspendu en raison d'un environnement économique particulier, il ne serait pas possible de réaliser le plan régional s'il y avait un accord avec le maire... Nul doute que les nouveaux patrons des patrons Provence-Alpes Côte d'Azur sauront les remettre sur le devant de la scène le moment venu. " Tous les chantiers sont connus de Jean-Louis Maurizi. Il connaît toutes les problématiques, qu'elles soient liées à l'emploi, à la formation ou à la santé ", souligne Yvon Grosso. Au vu de la situation actuelle et du contexte législatif, qui croit que " il faut revenir combattre le Medef " ?

Apprendre à répondre à (tous) les besoins

La formation et l'apprentissage sont clairement le leitmotiv d'une nouvelle mission qui s'ouvre. Ce " expert en relations sociales ", comme il le précise lui-même, tient particulièrement à souligner ces deux points. Parce qu'ils couvrent tout  : le besoin de compétences dans l'entreprise, la nécessité de réfléchir à de nouveaux métiers, la possibilité de ne pas fermer la porte à ceux qui veulent reprendre leurs recherches plus tard.

Le site est vaste, mais il n'a pas l'air d'impressionner Jean-Louis Maurizi. Qui a déjà cette méthode et cette partie du calendrier en tête ? Vous devez demander à chacune des " sections syndicales " et des "attentes de " concernant l'emploi et la formation »« Effectuez la composition. Ensuite, nous rencontrons le Président du Sud, que nous savons très dévoué, pour pouvoir mener certaines actions visant à développer des outils d'apprentissage ".

Jean-Louis Maurizi " , dont des experts tech, entend approcher l'Ecole de la Deuxième Chance pour faciliter la signature du CDI dès la première étape de l'apprentissage et veut aller.où on n'ira pas  : il y a une vraie richesse dans le quartier ".

Après 31 ans de syndicalisme patronal, Jean-Louis Maurigi entame une tournée de trois ans, et il suit assurément les traces d'Yvon Grosso. Surtout-mais en gravant déjà cette marque. Et sa manière  : " Les jeux collectifs doivent nous porter ".