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Au début de son procès, Jean-Marc Riser nie avoir toujours voulu tuer Sophie Le Tan.

Europe 1et AFP27 juin 2022 à 21h54
Jean-Marc L'assassin présumé de Sophie Le Tan espérait la mort d'un Étudiant de 20 ans le premier jour du procès lundi, avant que Balun ne devienne grand. Le procès devant jury doit être fait avant le 5 juillet pour comprendre ce qui s'est passé à Schiltigheim près de Strasbourg le 7 septembre 2018.

Le premier jour du procès delundi, avant que Balun ne devienne grand, Jean-Marc Riser, un meurtrier présumé de Sophie Le Tan, s'en est pris. Une personne qui ne voulait pas la mort d'un étudiant de 20 ans, a avoué avoir tué une jeune femme, et a mis plus de deux ans à avouer qu'il avait jeté son cadavre démantelé. été dégonflé et répété. Le prévenu de 61 ans, portant un masque sur le nez, a été mis dans le box des prévenus en T-shirt vert après 14 heures.

La mère de Sophie Le Tan, signe de tension alors au tribunal, a pleuré en voyant l'accusé. Elle ne pouvait pas se tenir debout et a été évacuée par l'équipe de secours. Incapable de retourner au tribunal, elle a laissé le père, le frère, l'oncle, la tante et le cousin de Sophie Le Tan s'occuper du meurtre présumé de l'étudiant.

Riser confirme avoir "expliqué les faits"

"Janmarck Quand j'ai vu Riser, c'était insupportable et au bord de l'évanouissement C'était ", avoué à la fin de l'audience avec le cousin de Sophie, Laurent Tan. "Vous répondez à la question de M. Riser ", a déclaré Francis Metsger, l'un de ses avocats, au début de l'audience, en donnant une requête du président Antoine Giesenhoffer. Insisté d'une voix ferme. "Oui, je vais répondre à la question autant que possible," répondit-il d'une voix sourde et sans émotion.

Après avoir lu le résumé de l'enquête de deux ans et demi,Jean-Marc Reiser il "a reconnu les faits" et "expliqué les faits." J'ai confirmé ce. "Je n'avais aucune intention de meurtre de ma part. Je ne suis pas d'accord avec la préméditation malveillante", a-t-il insisté. "C'est sa vérité, et il n'y changera rien", a prévenu l'un de ses avocats, Mee Francis Metzger.

Selon Pierre Wilmin, plusieurs annonces, dont celle de la mère de l'accusé, 84 ans, un homme "miséricordieux et respectueux"

Les témoins ont été exemptés. Certaines de ses auditions par les enquêteurs ont été lues lors d'audiences auxquelles assistait un large public. A la police, elle a dressé un portrait de "violence jamais vue", "n'a jamais fait de mal à une fille" Riser "bon fils". À la maison, Jean-Marc alcoolique "se disputait souvent" avec son père "insupportable", raconte Christian, la sœur de l'accusé. Elle a dit à la police : "Si c'est lui, c'est un monstre." "Il doit répondre de ses actes. Notre famille souffre", a-t-elle déclaré au bar.

"Je ne me suis jamais senti dangereux pour lui", a avoué Pierre Villemin, qui a connu Reiser aux Restos du Cœur. Le décrit comme un homme "miséricordieux et respectueux", parfois "un peu maladroit" ou "inamical", et capable d'être une femme et une "cavalerie". La visiteuse de prison Françoise Emily a rencontré Riser lorsqu'il était détenu à Besançon il y a plus de 20 ans avant d'être reconnu coupable de deux viols. Elle se souvient "d'un homme brillant, intelligent, culturel, calme, calme" qui s'intéressait à la "philosophie" et à la "spiritualité orientale".

Le jury doit comprendre ce qui s'est passé avant le 5 juillet

"Dr. Jekyll et Mr. Hyde, oui, oui. "Il est intelligent, charmant et cultivé, » mais « il ment sur tout, il trahit tout le monde », demande l'avocat des proches de Sophie, Me Gérard Welzer. Après cela, il a été agressé. "Il faut humaniser le personnage et le libérer de cette idée qu'il est un monstre", désapprouve l'un des conseillers de Jean-Marc Riser, Mee Pierre Juliat. Assassinat par un piège soigneusement préparé. Ou, comme le prétend Jean-Marc Riser, refuser d'avancer puis tuer avec colère. Juge, quatre hommes et deux femmes tentent d'ici le 5 juillet de comprendre ce qui s'est passé le 7 septembre 2018 à Schiltigheim, une commune adjacente à Strasbourg s'impose.

Sophie Le Tan a disparu le jour de son 20e anniversaire après avoir visité l'appartement. Les enquêteurs revinrent bientôt à Jean-Marc Riser avait déjà été reconnu coupable de viol en 2003 et acquitté d'une autre disparition en 2001 faute de preuves. D'importantes traces de sang soigneusement effacé ont été retrouvées chez lui, et l'ADN de la victime a été retrouvé dans sa scie de sous-sol. Après plus de deux ans de versions déni et variantes, il a finalement avoué en janvier 2021 plus d'un an après la découverte du squelette incomplet de l'étudiant dans la forêt en octobre 2019. a fait. Jean-Marc Reiser est interrogé sur les avantages de la procédure du vendredi. Il risque la prison à vie.